L'actuel secrétaire d'État à la Fonction publique, l'UMP Georges TRON, est accusé par deux anciennes collaboratrices de la mairie de Draveil - commune dont il est maire depuis 1995 - d'agression sexuelle et de viol. Une chanson de l'ersatz d'artiste qui sévit dans la commune essonnienne, Pino SAIVERRE, nous laisse aujourd'hui pantois tant son texte est révélateur des mœurs légères du conseil municipal... C'est une reprise du tube des années 70 de Nino FERRER, le Téléfon.
Bernadette, sacrées gambettes !
Et sa voisine, a d'grosses tétines
L'UMPénien, a des goûts fins
Mairie d'Draveil, on recrute sur entretien.
Noémie la leur déplie
Moins que Zoé, la petite du tri
Anatole il la chignole
Et Georges TRON engage pas des tromblons.
[REFRAIN]
Et TRON y a l'téléfon qui son'
Pour une histoire de fion, faut qu'tu réponds
Et TRON attention aux questions
Sinon c'est la prison, comme le Strauss-Kohn
Marie-Louise, massage assise
Marie-Thérèse, nue sur l'alèse
Marie-Berthe, toujours ouverte
T'es pas soumise ? Ben moi je minimise !
Edouard les baise dans l'square
Et Léonard s'planque dans l'armoire
Léontine est pas très fine
Et Georges TRON propose le coup d'piston.
[REFRAIN]
Et TRON y a l'téléfon qui son'
Pour une histoire de fion, faut qu'tu réponds
Et TRON attention aux questions
Sinon c'est la prison, comme le Strauss-Kohn
Cochon, chon, chon, chon, chon, chon, chon, chon,
Et TRON fini les culs bien ronds
Bientôt des zizis longs en zonzon !
