Après, Rachel UCHITEL, maîtresse n°1 par qui est arrivé le scandale, Jaime GRUBBS, maîtresse n°2 qui a en sa possession des messages très explicites du golfeur, veuillez accueillir Kalika MOQUIN alias maîtresse n°3 de Tiger WOODS.
Ce sont des révélations qui peuvent choquer, certes, mais son comportement était prévisible. Et il est bien possible que ça ne soit que le début d'une longue liste car le prodige américain du golf sait aisément gérer jusqu'à 18 trous à la suite. Puis, il suffit d'interroger les personnels des club house dans lesquels il va fêter ces trophées. Là bas, il se fait généralement appeler "Mickey M'House" en rapport avec ses "oreilles".
Mais, plus généralement, si on se penche un peu sur le milieu du golf et sur son lexique on y découvre rapidement une multitude d'allusions au sexe. Petit florilège.
Tiger est un spécialiste de l'approche, il faut dire qu'il n'a que très peu de handicap, n'est jamais sur le mode petit-jeu et possède pas mal de practice derrière lui. Il sait scorer dans les moments importants et est toujours au top à la verticale, le club en main et face au green, ou à l'horizontal, le fer long en main et face aux multiples terrains féminins (fairway herbeux et bien tondu, rough très dense ou même bunker sableux). Il a le regard perçant de l'eagle, un grand loft et que dire de sa façon de driver ! Bref, tout pour plaire craquer la gente féminine.
En plus de cela, il est aussi devenu maitre absolu dans l'art d'onduler du bassin le fer en main : backspin, backswing, downswing, overswing, sway et upright n'ont plus aucun secret pour lui. Avec de telles dispositions et une connaissance encyclopédique des positions du kamasutra du golf (draw, fade, pull, pull-hook, pull-slice, push, push-hook, push-slice, virgule, waggle, ...) il est difficile pour la concurrence de rivaliser avec lui en tournoi ou sur les femmes.
Et comme ci ce n'était pas assez qu'il soit béni des Dieux du sport et du sexe, il est loin d'être monté comme un birdie ! Ajoutez à cela un appétit sexuel démesuré, adepte du foursome, à l'heure du tee lui est sur les putt(es) en gardant ses socket. Et ses maitresses le reconnaissent d'une seule voix, il est top au plumard, avec lui ça scratch dans les craquettes, ça pitche dans les popotins et ça slice dans les guitounes.
Voilà donc pourquoi il parvient si facilement à lober son épouse, Elin NORDEGREN, et qu'elle ne sache pas qu'il est en train de sauter à la corde avec une autre. Bref, pour la Suédoise il reste toujours l'argent à récupérer d'un éventuel divorce (soit une partie de la fortune du champion estimée à environ 80 millions de dollar, et ce uniquement pour les gains sportifs).
Ce sont des révélations qui peuvent choquer, certes, mais son comportement était prévisible. Et il est bien possible que ça ne soit que le début d'une longue liste car le prodige américain du golf sait aisément gérer jusqu'à 18 trous à la suite. Puis, il suffit d'interroger les personnels des club house dans lesquels il va fêter ces trophées. Là bas, il se fait généralement appeler "Mickey M'House" en rapport avec ses "oreilles".
Mais, plus généralement, si on se penche un peu sur le milieu du golf et sur son lexique on y découvre rapidement une multitude d'allusions au sexe. Petit florilège.
Tiger est un spécialiste de l'approche, il faut dire qu'il n'a que très peu de handicap, n'est jamais sur le mode petit-jeu et possède pas mal de practice derrière lui. Il sait scorer dans les moments importants et est toujours au top à la verticale, le club en main et face au green, ou à l'horizontal, le fer long en main et face aux multiples terrains féminins (fairway herbeux et bien tondu, rough très dense ou même bunker sableux). Il a le regard perçant de l'eagle, un grand loft et que dire de sa façon de driver ! Bref, tout pour plaire craquer la gente féminine.
En plus de cela, il est aussi devenu maitre absolu dans l'art d'onduler du bassin le fer en main : backspin, backswing, downswing, overswing, sway et upright n'ont plus aucun secret pour lui. Avec de telles dispositions et une connaissance encyclopédique des positions du kamasutra du golf (draw, fade, pull, pull-hook, pull-slice, push, push-hook, push-slice, virgule, waggle, ...) il est difficile pour la concurrence de rivaliser avec lui en tournoi ou sur les femmes.
Et comme ci ce n'était pas assez qu'il soit béni des Dieux du sport et du sexe, il est loin d'être monté comme un birdie ! Ajoutez à cela un appétit sexuel démesuré, adepte du foursome, à l'heure du tee lui est sur les putt(es) en gardant ses socket. Et ses maitresses le reconnaissent d'une seule voix, il est top au plumard, avec lui ça scratch dans les craquettes, ça pitche dans les popotins et ça slice dans les guitounes.
Voilà donc pourquoi il parvient si facilement à lober son épouse, Elin NORDEGREN, et qu'elle ne sache pas qu'il est en train de sauter à la corde avec une autre. Bref, pour la Suédoise il reste toujours l'argent à récupérer d'un éventuel divorce (soit une partie de la fortune du champion estimée à environ 80 millions de dollar, et ce uniquement pour les gains sportifs).
Gillette dans la Jeannette
