18/11/2009

Politique-fabulation

Le gouvernement "enrichit" le français de deux néologismes...
  • Christian ESTROSI, ministre chargé de l’Industrie, a affirmé récemment lors de la présentation au Sénat du projet de loi modifiant le statut de La Poste que l'entreprise publique serait "imprivatisable".
  • François Fillon, premier ministre, a voulu afficher face aux députés UMP une inaltérable résistance aux velléités rebelles de sa majorité en se déclarant "inénervable".

Il faut dire que les politiques français aiment à manier le néologisme comme va le montrer ce clash de Jean Marie LE PEN destiné à la classe politique du pays dans son ensemble.
"Mon discours ne s'adresse pas aux sidaïques, pas non plus aux oui-ouistes européanistes convaincus, pas aux islamophiles, pas aux droit-de-l'hommistes sodomites et métissolâtres, pas aux abracadabrantesques ripoublicains de droite ou aux mitterandiens adeptes de la bravitude, n'est-ce pas.
Dans cette vidéocratie à la française, l'ommiprésident SARKOZY, le TSARKOZY devrais-je dire, et sa troupe ultralibérale nous provoquent ses fameuses héritations. Après les raffarinades grotesques du VRP Moulinex, après le serment d'allégeance au bushisme et l'envoi de soldats dans cette busherie hallal qu'est l'Irak actuelle, après la mise en terre programmée de la Chiraquie dans un grand 'Pschitt' et avant la mort clinique des consom'acteurs français bernés par la flexicurité des emplois dans notre démocrature il nous faut réagir sans délais, n'est-ce pas.
La lepénisation des esprits est un leurre fruit d'une campagne inadmissible de diabolisation systématique anti LE PEN, n'est ce pas. Campagne de diabolisation orchestrée aussi bien par la gauche socialo-communiste à la solde d'une brèche judéo maçonnique que par une coalition quasi-mafieuses des pires argousins de la droite (fabiusiens, chiraquiens, sarkozistes, villepinistes, ...). Ceci n'étant, en fait, qu'une diversion permettant à toute cette racaille politicienne, aussi nuisible que celle des apatrides levantins sévissant sur notre sol national, de continuer, en toute impunité, son détroussage idéologique et financier du citoyen ordinaire."